Originaire de Montpellier dans l'Hérault, Sébastien Scognamiglio est né le 6 octobre 1979.
 

Son premier engagement remonte au Lycée, où il créé un groupe local UNL, et sera par la suite élu au Conseil d'Administration.

Le baccalauréat en poche, il entre à l'Université de Montpellier. Il s'engage alors rapidement à l'UNEF-ID, et participera au congrès de réunification de l'UNEF. Omniprésent dans la vie de l'établissement, il est élu puis réélu au Conseil d'UFR.

Après une dernière année à Montpellier en Maîtrise, il terminera ses études à Besançon, où il obtient un Master d'Economie Financière. Il commence alors à travailler dans le milieu bancaire.

C'est en 1995 que Sébastien Scognamiglio s'engage dans un combat politique, en s'opposant à la reprise des essais nucléaires militaires voulue par Jacques Chirac.

Militant de gauche, il se considère comme partisan de l'émancipation de l'homme. Il ne souhaite donc pas s'inscrire dans le combat communiste, qu'il juge oppressif. Syndicaliste, Il choisit de rejoindre une formation politique, et adhère au mouvement Les Verts.

A 28 ans, Sébastien Scognamiglio est candidat à l'élection cantonale de Boulogne Nord-Est, en 2008. Avec sa suppléante Judith Shan (PS), ils recueillent 19,68% des suffrages exprimés, et se voient refuser la qualification pour le second tour à 0,4 voix près.

Par la suite, en tant que Porte-parole des Verts des Hauts-de-Seine, il prend publiquement la parole sur les thèmes qui lui sont chers :
 

Depuis deux ans et demi, il est employé dans une association d'insertion.

En 2012, il était candidat remplaçant d'Odile Joyeux pour l'élection législative à Boulogne-Billancourt, circonscription des Hauts-de-Seine où a perdu le 17 juin 2012 Claude Guéant, à l'issue d'une triangulaire.
 

 
 
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